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Bagnoles et la Forêt des Andaines |
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| Le Grès armoricain a été utilisé comme « pierre de pays » dans la construction de nombreuses villas de Bagnoles-de-l’Orne, et plus particulièrement dans le quartier « Belle Epoque », édifié entre 1886 et 1914 dans la partie sud de la ville, dont le style architectural rappelle celui des stations balnéaires de la côte normande. |
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Cette maison présente une association grès armoricain-briques telle qu’on la retrouve dans de nombreuses villas du quartier « Belle Epoque » construit au début du 20e siècle. Les moellons du mur de façade ont été taillés dans les quartzites gris clair de la formation du Grès armoricain. Les briques sont réservées à l’ornementation et utilisées dans les appareillages, autour des portes, fenêtres et dans les angles des murs. |
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Au bord du lac, le bâtiment situé à gauche présente des murs qui allient Grès armoricain et briques (sauf ajouts récents) comme dans la majorité des villas du quartier « Belle Epoque » situé au SE du Casino. A droite, de construction plus récente, le casino influencé par le style Art déco en vogue dans l’entre-deux-guerres, ne présente pas de matériaux régionaux apparents. |
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Hôtel du Roc-au-Chien Le rouge des briques utilisées pour la tourelle et l’encadrement des fenêtres, contraste avec le gris clair des moellons de quartzite du mur de la façade sur rue. Le Grès armoricain, qui a fourni les quartzites, affleure à proximité, le long de l’allée Beatrix. |
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Mur de soutènement en moellons de Grès armoricain Ce mur borde l’allée piétonne qui longe le pierrier du Roc au Chien, en face des Thermes. Il maintient la base du pierrier et protège la route d’éventuels éboulements. |
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La façade très sobre de cette villa du quartier Belle-Epoque est entièrement construite en Grès armoricain, gris clair, y compris les chaînages d’angle et les linteaux de fenêtres. |
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Dans cette villa des briques rouges ont été ajoutées au Grès armoricain dans un but décoratif. Les linteaux des fenêtres et les balustres du balcon sont en calcaire. |
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Les briques ont été plus largement utilisées dans la façade de cette villa. Les chaînages d’angle des murs construits en Grès armoricain ont été réalisés avec des briques du même ton gris clair. Des briques colorées de l’ocre au rouge ont été utilisées pour une partie des murs et pour les chaînages horizontaux, dans un but décoratif. La balustrade du perron et les sculptures des ornementations des fenêtres sont en calcaire jurassique (probablement du Calcaire de Caen). |
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Cette villa richement ornementée associe étroitement Grès armoricain, briques colorées et calcaire : murs de Grès armoricain aux chaînages en briques grises et murs constitués par une alternance de briques rouges et de calcaires clairs. Les éléments sculptés sont en calcaire. A survoler |
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Les murs de cette maison sont en Grès armoricain et les linteaux des fenêtres en Granodiorite cadomienne. |
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Détail d’un mur construit en Grès armoricain Le Grès armoricain étant un quartzite, roche très dure et difficile à tailler, les moellons présentent une cassure très irrégulière. |
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Château de la Roche-Bagnoles Devenu mairie de Tessé-la-Madeleine puis mairie de Bagnoles-de-l’Orne, ce château construit en 1856 dans un style néorenaissance, est bâti sur la granodiorite cadomienne, près de la bordure méridionale du synclinal varisque. Les tours et le soubassement sont en granodiorite, les éléments décoratifs sont en calcaire et en briques. |
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Granodiorite cadomienne, de teinte gris moucheté, dans une tour du château. La couleur brune de certaines pierres est due à l’altération de la granodiorite. |
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La granodiorite cadomienne renferme de nombreuses petites enclaves sombres. L’aspect moucheté de la granodiorite correspond à la coexistence de 3 minéraux principaux : feldspaths (blancs), quartz (gris vitreux) et biotite (noire). |
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Pavage en Grès armoricain au pied d’une tour du château |
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Prieuré de Saint-Orthaire |
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Bagnoles et la Forêt des Andaines |
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