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Les récifs de spongiaires
(biohermes) sont localisés dans la partie en relief de la falaise. |
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Photo et zoom. Chaque
bioherme, d'une hauteur de 1 à 2 mètres, possède
une forme de V évasé. A l'apex (base du bioherme), on observe
des éponges pionnières, massives, au dessus desquelles se
développent des éponges aux formes plus aplaties, cupuliformes.
A la périphérie des biohermes, se dépose un sable
bioclastique grossier, contenant de nombreux débris d'une faune
commensale. |
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Détail d'un
bioherme. Grande variété de forme des éponges
dans le bioherme : globuleuse, cupuliforme, aplatie, en assiette, en coupe....
Le bioherme se développe par bourgeonnement des éponges
en place. Il y a compétition entre ensablement du bioherme et sa
croissance. Les éponges de grande taille ont un squelette siliceux,
épigénisé par de la calcite. |
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Photo commentée.
Deux biohermes devenant coalescents. Des éponges pionnières
s'installent dans des zones favorables. Les colonies éparses ainsi
formées se développent en s'évasant, jusqu'à
devenir coalescentes. |
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Détail de la
périphérie d'un bioherme : Le calcaire bioclastique
environnant le bioherme contient de nombreux débris d'une faune
associée : nombreux bivalves, brachiopodes, échinodermes,
bryozoaires, et autres invertébrés. |
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Trois biohermes coalescents
dans leur partie supérieure surmontant la base marneuse des caillasses
de la Basse-Ecarde. |